
1 – L’enfant, garçon ou fille, se construit dans le moule parental
L’enfant nait, doté d’un organe sexuel qui le catégorise en garçon ou fille.
La famille est son 1er lieu d’identification et de socialisation ; un lieu de représentation du relationnel au monde et aux autres. L’enfant grandit, comme ses parents, en intégrant les caractéristiques « masculines » ou « féminines » qui le différencient de l’autre sexe. Il assimile toutes les informations qui lui sont présentées : gestes, valeurs, préjugés, sentiments, comportements, croyances, émotions, …
Il se voit par la relation à ses parents. Il développe une plus ou moins grande estime de lui selon que son parent est, stimulant, rassurant, humiliant, dévalorisant ou maltraitant. Il est ce que ces parents disent, désirent, attendent de lui. Sa place lui est attribuée, il s’inscrit dans un rôle qui lui est affecté. Ce rôle est une co-production, une cocréation qui préserve l’équilibre et la cohérence (l’homéostasie) du système familial.
Son identité se construit par la qualité des relations et le contenu des transmissions de père-mère à fils-fille, de grand-père grand-mère à petit-fils petite-fille.
Pour « appartenir » à son clan, sa famille, son groupe et ainsi trouver SA place, l’enfant devra apprendre à se soumettre.
Ainsi lui est apporté la considération, la reconnaissance, le droit à l’appartenance ; sous des formes, source d’épanouissement (enthousiasme, gout de la vie, évolution, ouverture) ou de traumatisme (sentiment de rejet, d’abandon, d’injustice, de trahison, d’humiliation).
L’enfant est un symbole de légèreté, d’insouciance, de joie de vivre, de bien-être et de liberté ; il vit sans limites, sans préjugés ; il ne connaît ni tabou ni censure. Pour lui, seul compte le moment présent. La vie est, pour lui, un vaste terrain de jeu, où tout s’expérimente et se découvre, dans le non-jugement ; simplement pour apprendre.
Mais l’enfant est, aussi, un être vulnérable, facile à blesser, à effrayer. Peu ou mal protégé, il est vite démuni et abusé. Mal traité ou mal aimé il devient facile à tromper, à violenter. Il vit ses sentiments et ses émotions sans toujours trouver les mots. En chacun de nous peut se trouver un enfant blessé qui souffre et a besoin de revenir à sa nature profonde.
La façon dont, enfant, nous vivons, ressentons, intériorisons, les situations et notre relation aux autres, nous construit et fait de nous ce que nous devenons : notre identité s’épanouit, ou se sclérose ; notre personnalité en est enrichie ou censurée, exploitée ou bridée. Car pour l’enfant, le monde est un grand théâtre où se joue et s’expérimente les différentes facettes de la vie.

2 – L’adolescent amorce le processus de différenciation et d’individuation
L’enfant est devenu un adolescent ; il a intériorisé, sans remise en question, toutes les informations transmises par son environnement : les histoires, les usages, les traditions, les principes, les actions, réactions et comportements … Son besoin de reconnaissance et d’appartenance a trouvé réponse dans de l’Amour, du non-amour, voire du mal-amour.
Il bénéficie d’une « base de données » sensée le préparer à « affronter » la Vie, selon des programmations propres à chaque système familial, social et culturel.
Maintenant, il va expérimenter (ou non) l’opposition, le conflit, l’interdit pour trouver ses limites et éprouver le bien-fondé de l’éducation reçue.
Il découvre la rencontre amoureuse. Il explore une relation à l’autre qui est à différencier de celle expérimentée avec chaque parent, chaque frère et sœur.
S’opposer (ou non) à l’autorité parentale va l’initier à l’exercice du « Libre Arbitre », de la Liberté de choix, de l’Autonomie, de la Responsabilité, de l’Engagement.
Se confronter (ou non) à sa fratrie va l’aider à s’affirmer, à sa place et dans son rôle.
Il pourra ressentir et apprécier (ou non) la « Personne » derrière le « personnage ». Il apprendra (ou non) à reconnaitre ses différences pour en faire des atouts ou des freins. Il consentira (ou non) à se distinguer par sa singularité. Il se niera ou alimentera son « Estime » en discernant sa « Valeur ».
Ce processus lui permet d’enrichir sa « base de données », de mieux accueillir et contrôler ses émotions, de gagner en confiance.

3 – Être Homme – Femme, Être Adulte
L’adulte que nous sommes aujourd’hui est la continuité de l’enfant, puis de l’adolescent que nous étions hier. Un enfant, héritier de mémoires transgénérationnelles, façonné par les transmissions et les acquis, de tout ce qu’il aura été amené à vivre, de l’enfance à la fin de l’adolescence.
Conscientiser d’être Homme-Femme et Adulte s’avère un processus complexe qui demande, entre autres, de se libérer des archétypes, des idées préconçues et de s’affranchir de son histoire familiale pour construire son propre système de valeurs
En devenant « adulte », garçon ou fille, se retrouve dotés de caractéristiques qui deviennent « masculines » ou « féminines » selon l’âge, la maturité, les époques, les cultures, la structuration de la société, la situation économique, les règles de répartition des fonctions et des rôles, les croyances, les injonctions familiales, communautaires, religieuses, …
La combinaison de 2 ou plusieurs éléments crée l’archétype. Modèle de référence qui peine à évoluer voire qui se cristallise malgré les changements de société. L’archétype protège l’équilibre social. Il s’entretient en étant l’idéal à atteindre, le modèle à reproduire, l’injonction à respecter.
L’archétype se transmet, de génération en génération, symbole de soumission et garantie de reconnaissance et d’appartenance au groupe, au clan, à la communauté.
Respecter l’archétype nous limite dans la connaissance que nous pourrions avoir de nous-même. Nous expérimentons les facettes autorisées par notre environnement extérieur, en nous fermant à toutes les nuances contenues dans notre MOI intérieur.
Nous existons par une validation et une approbation qui nous vient de l’extérieur. Nous sommes dépendants du regard de l’Autre, parce que déconnectés de notre dimension intérieure. Les enjeux des archétypes freinent le lien au Sacré.
L’adolescent devenu adulte acquiert un stade de maturité sensé le rendre autonome, responsable et apte à faire ses propres choix de vie. L’adulte peut se réaliser, écrire sa propre histoire et s’inscrire dans l’espace et le temps.
Ancré, en conscience, dans son histoire familiale, culturelle et sociale, il assume l’entière responsabilité de sa vie.
Il revisite ses histoires, parentale et ancestrale. Il les « reconnait et les honore » avant de s’approprier les valeurs fondamentales, les principes de vie, les codes relationnels, les traditions culturelles qu’il estime « juste » pour lui.
Il s’émancipe en triant dans ses héritages transgénérationnels. Avec tout ou partie de cet Héritage, il s’autorise, à conserver pour perpétuer, à transformer en faisant évoluer, à rejeter comme inapproprié pour l’époque.Il se dégage des conditionnements, s’affranchit des loyautés. Il construit son propre système de valeurs, mélange de transmissions, de créativité et d’adaptabilité.
Modifier ou faire évoluer, dans le temps, ce qui doit l’être : traditions, codes, règles, coutumes, usages ; c’est oser affronter ce qui, en nous, doit être corrigé, rénové pour que notre relation avec l’extérieur soit l’expression de nos équilibre et harmonie intérieurs.

4 -L’Homme et la Femme s’expriment dans l’équilibre de leur masculin-féminin
Nous naissons de l’union sexuelle d’une femme et d’un homme. Nous portons en nous ces 2 polarités ; nous sommes à la fois « masculin ET féminin ».
Nous avons tous en nous, hommes et femmes, une part d’énergie féminine et une part d’énergie masculine. Notre histoire, notre rapport aux autres et au monde, nos héritages transgénérationnels, font que nous exprimons chaque part, dans des proportions différentes.
Equilibrer en nous, notre masculin-féminin c’est être dans l’expression la plus juste de notre identité ; c’est Être au plus près de notre essence profonde notre Masculin-Féminin Sacré.
Le Masculin sacré ou le Féminin sacrée est en nous, dès la naissance, avant tout conditionnement ou impact de notre environnement. La Femme dans son féminin sacré et l’Homme, dans son masculin sacré, ne sont ni en compétition, ni en conflit de pouvoir.
La Femme ne doit pas chercher pas à devenir comme l’homme. L’Homme peut s’autoriser à exprimer sa sensibilité sans nuire à son image.
Être dans son Féminin Sacré c’est reconnaitre, accepter et exploiter ses qualités féminines – c’est être dans sa plénitude de Femme, sans pour cela renier sa part masculine.
Être dans son Masculin Sacré, c’est reconnaitre, accepter et exploiter ses qualités masculines ; c’est être dans sa plénitude d’Homme, sans pour cela renier sa part féminine.
L’Homme qui renie son principe féminin ou la Femme qui renie son principe masculin, se renie lui-même, ce qui engendre nécessairement conflits intérieurs, déséquilibres comportementaux.
Le Féminin et le Masculin sacrés sont deux énergies que nous portons en nous, deux énergies complémentaires qui nous apportent l’harmonie intérieure et l’équilibre dans le rapport à notre environnement.
Pour trouver l’expression la plus juste et la plus libre de ses parts masculine et féminine, l’adulte doit reconnaitre et soigner ses blessures d’Amour (trahison, abandon, rejet, humiliation, injustice). Il doit se donner le temps de guérir son Masculin et-ou son Féminin blessé en éclairant toutes les injustices subies. Il doit soigner ses blessures pour retrouver le gout, de la joie et du plaisir, porté par son Enfant Intérieur.
En reconnaissant ses expériences de mal-Amour ou de non-Amour, l’Homme-la Femme se libère d’un relationnel à « l’Autre » douloureux. Il gagne en confiance et en bienveillance vis-à-vis de lui-même.
Il s’autorise à ouvrir son cœur à un Amour qu’il peut donner sans avoir peur ; qu’il peut recevoir parce qu’il s’en sait digne. Il accepte de s’ouvrir à toutes les facettes de son Féminin-Masculin de façon, juste, harmonieuse et équilibrée.
Il apprend à S’Aimer, à Être Aimer, à Aimer l’Autre et ainsi, ancré et aligné, il va à la rencontre de mon couple intérieur.

5 – L’homme et.ou la Femme forment un couple conjugal…équilibré
Un couple est fait de ressemblances et de différences, à reconnaitre par chacun et à mutuellement accepter.
Dans un couple, chaque partenaire définit son rôle de conjoint par le décryptage de son couple parental.
Chacun va s’appuyer sur ce qui lui a été donné, à voir et à entendre, de la relation entre ses parents, en tant qu’Homme et Femme, dans leur communication affective, émotionnelle, intellectuelle, matérielle et sociale.
Chacun aura à éclairer les places occupées et les rôles joués dans son système familial d’appartenance afin de se définir et de s’autoriser à écrire son propre rôle.
Être en couple nous demande, aussi, de conscientiser nos véritables attentes, souvent en lien avec les manques et les frustrations héritées de nos Histoires personnelle, parentale et ancestrale. Souvent nous attendons de l’autre qu’il remplace notre père défaillant, notre mère mal-aimante, voire un membre de la famille défunt, exclu ou insoumis. Eclairer nos Histoires familiales, guérir de nos blessures d’enfance, est une étape qui aide à clarifier notre contrat implicite d’alliance avec l’Autre.
Un couple équilibré est un couple où chaque partenaire est arrivé à ne plus être dépendant de sa famille originelle. Un couple où, parvenu à un certain niveau de différenciation et d’individuation, chacun se sent en capacité d’affirmer son « je » pour créer un « nous ». Ainsi, chaque partenaire conscient de sa Valeur, se reconnait et s’affirme dans sa différence, sa singularité et son unicité.
Nous venons de couples imparfaits, formés par le désir de combler les manques des générations précédentes. Ils font de nous des adultes imparfaits qui ont le devoir de s’émanciper du couple parental, de devenir créatifs dans leur quête d’épanouissent à deux.
Nous aspirons à une relation de couple harmonieuse et équilibrée ; une relation où, dans l’idéal, chacun se sait « libre d’Être qui il est » dans une expression mesurée de son « masculin-féminin ». Aspirons, simplement, à tendre vers cet idéal. Former un couple est une co-construction qui s’inscrit dans le temps et dans la qualité de chaque « moment présent ».

6 – Le couple conjugal devient un couple parental
Avant de devenir Parent, nous sommes en couple conjugal. Devenir parent ajoute à notre engagement une responsabilité particulière. Devenir Parent demande de décrypter nos modèles de référence pour mieux conscientiser le modèle que nous donnons à vivre à nos enfants.
Chaque conjoint se définit dans son rôle de parent selon son vécu à ses propres parents : sa relation à son père, sa relation à sa mère, la relation entre le père et la mère, la relation père-mère-enfant.
Comprendre la dynamique parentale permet de comprendre ce qui nous a construit pour accepter nos parents tels qu’ils sont : des parents imparfaits, qui ont fait de leur mieux. Reconnaitre l’histoire de ses parents comme étant uniquement la leur, c’est choisir de se fortifier de leurs réussites et de se dégager de leurs manques, de leurs faiblesses et de leurs croyances. C’est accepter d’être un parent imparfait ; c’est s’autoriser à être le parent que l’on désire être.
La famille est un système dont l’équilibre se fondent sur la loyauté de chacun envers le clan et envers chaque membre du clan. Les « nouveaux » parents, en différenciant « lien et relation » à la famille, peuvent s’émanciper en faisant évoluer le principe d’appartenance et le devoir de loyauté à la famille originelle.
Le rôle du couple parental peut être vu comme un accompagnement de l’enfant vers l’expression la plus « juste » de ce qu’il est. C’est à l’adulte-parent de lui apporter l’Amour (affection, tendresse, confiance, bienveillance sans complaisance) et la sécurité (protection, compréhension des codes, des règles de fonctionnement et des contraintes de son environnement).
L’organisation familiale actuelle diffère par une redéfinition des rôles de père et mère, par une transformation de la relation parent-enfant. A chaque parent la difficile tâche de définir la place qu’il accepte de prendre et le rôle qu’il accepte de jouer.

7 – Du couple conjugal-parental au couple intérieur sacré
Vivre en couple, construire un couple reste une aventure ; qui se nourrit des compréhensions tirées de nos actions heureuses ou douloureuses. Une aventure qui a du mal à s’affranchir des souvenirs hérités du couple parental et qui peine à se libérer des mémoires ancestrales. Une aventure qui reste tributaire de nos résistances à comprendre pour évoluer.
Nos parents « humains » portent leurs traumatismes, leurs insuffisances et leurs souffrances. L’image que nous avons d’eux influe sur notre conception du couple. Se connecter à son « couple intérieur sacré » régénère l’impact des parents humains.
Le « couple intérieur sacré » est la quintessence divine du couple. Il émane la vibration divine du Masculin-Féminin réconcilié, rééquilibré. Il est, en nous, pour nous guider et nous rassurer. Chacun de nous possède en lui la quintessence du couple ; un idéal vers lequel tendre, une énergie à vivre et à exprimer.
Le couple intérieur sacré est l’union du masculin-féminin sacré de chacune des personnes formant le couple.
La divinité qui est en l’un rencontre la divinité qui est en l’autre. L’Être Divin de chacun des partenaires diffuse sa force d’Amour et son énergie masculine-féminine.
L’énergie du Féminin-Masculin sacré de l’un rencontre l’énergie du Féminin-Masculin sacré de l’autre.
Le couple intérieur sacré est l’union de ces 2 énergies, équilibrées, qui se complètent, se mélangent et fusionnent.
La Force de l’Amour que l’on se porte, entre en résonnance avec la Force de l’Amour qui existe en l’autre.
Les âmes se connectent et savent qu’elles ont :
- A grandir ensemble, en se respectant ;
- A se soutenir l’une l’autre dans l’expression libre et juste de leur masculin-féminin ;
- A accepter et à respecter, mutuellement, leurs parts respectives d’ombre et de lumière ;
- A amener l’autre à rencontrer ces facettes de lui-même qu’il n’ose pas libérer ;
- A accompagner l’autre vers une meilleure connaissance de lui-même ;
Le couple intérieur sacré nous permet de défusionner de nos modèles parentaux ; de faire évoluer nos schémas comportementaux de référence ; pour cocréer un modèle extérieur plus « juste », plus adapté ; un modèle unique ; ; une vision personnelle de l’Homme, de la Femme, du couple.

8 – Des parents biologiques humains aux parents intérieurs sacrés
Nos parents biologiques-humains sont porteurs de souffrances, de colères, de traumas. Auprès d’eux, nous, leurs enfants, expérimentons la vie en héritant de leurs conditionnements et de leurs croyances. Nos parents biologiques-humains influencent, par leur image, les informations qui construisent notre définition du « couple conjugal puis parental ».
Nos parents biologiques-humains apportent le cadre et les fondements nécessaire à l’expérience humaine que nous sommes venus vivre dans cette incarnation.
Nos parents intérieurs sacrés ne portent rien de tout cela ; ils incarnent l’essence de la parentalité. Ils sont là, en AMOUR, pour nous protéger, nous soutenir, nous guider, pour nous pousser à écrire notre propre histoire.
Le Père intérieur (Père divin) et la Mère intérieure (Mère divine) complètent les insuffisances et rectifient les limites (histoire, émotions, traumas) de nos Père et Mère humains.
Elle, la Mère intérieure, est L’Amour et l’Energie Féminine de « la source ». Elle émane la tendresse, la compréhension, la protection, l’Amour inconditionnel. Elle est la Mère Idéale, l’essence de la Maternité.
Lui, le Père intérieur, est L’Amour et l’Energie Masculine de « la source ». Il inspire la force, la sécurité, l’action, la créativité. Il est le Père Idéal, l’essence de la Paternité.
Ils sont l’union du Masculin Sacré et Féminin Sacré. Ils sont 2 Masculin-Féminin qui s’équilibrent pour que chaque conjoint s’épanouisse dans l’Amour de Soi et l’Amour de l’Autre ; dans le respect de Soi et le respect de l’Autre. Leur complétude énergétique nous habite pour nous recharger, nous fortifier, nous faire nous sentir rempli (e), sécurisé(e).
- L’élan, la puissance et la force nécessaire à l’action,
- L’Assurance et la confiance pour que tu oses expérimenter et agir,
- L’autorité et le sens de la justice,
- La protection pour que s’exprime ton enfant intérieur,
- L’enthousiasme pour que ton cœur d’enfant te montre comment jouer avec la vie,
Le Père Intérieur, essence de la parentalité, est présent en chacun de nous.
La Mère Intérieure apporte
- La rassurance et le sens de l’accueil,
- L’intuition et l’inspiration,
- La sensibilité et la douceur,
- L’écoute sans jugement et la compassion,
- Elle dit les mots justes, pour apaiser tes doutes, dissoudre tes peurs et t’aider à voir la réalité,
La Mère Intérieure, essence de la parentalité, est présente en chacun de nous.
Tes parents intérieurs t’invitent à te tourner vers la Vie avec Confiance. Ils sont présents en toi, ils sont Toi. Ils sont aussi guide et protecteur de ton Enfant Intérieur. Ils sont là pour t’accompagner dans l’expérience et la Nuance de ce que tu es venu chercher, manifester et transmuter dans cette incarnation.
Nous pouvons ressentir et nous connecter à l’énergie de notre « Enfant Intérieur », de notre « Masculin-Féminin Sacré », de notre « Couple Intérieur Sacré » et de nos « Parents Intérieurs Sacrés ». Ces énergies sont en nous, pour nous aider à poursuivre notre route, à écrire notre propre Histoire